2.4

Formation en Haute école spécialisée (HES)

Développement du dispositif de la formation pratique HES

Encadrer la formation pratique représente une partie importante de l’activité des soignants et soignantes du CHUV. Quelques 210 praticiens formateurs et praticiennes formatrices composent un dispositif qui permet de fournir 29'600 journées de stage HES par an, dont 20'000 pour les soins infirmiers.

Plus de 350 étudiants et étudiantes ont adressé leur évaluation en complétant un questionnaire.

En 2017, trois projets ont contribué à développer le dispositif. Ils portaient sur la communication avec les différentes filières professionnelles des hautes écoles, le soutien apporté aux cadres et formateurs et formatrices des départements cliniques et, enfin, sur l'évaluation de la satisfaction des étudiants et étudiantes en stage au CHUV.

Plus de 350 étudiants et étudiantes ont adressé leur évaluation en complétant un questionnaire. Ces données facilitent l'amélioration continue des pratiques d’encadrement, ainsi que l'organisation de la formation. En 2018, cette démarche sera étendue aux autres filières professionnelles (non-HES).

Un nouveau Master ouvert aux professions de la santé de niveau HES

Soucieux de poursuivre sa mission d’enseignement de niveau universitaire, l’Institut universitaire de formation et de recherche en soins (IUFRS) s’est associé avec la HES-SO, afin de proposer un nouveau Master en Sciences de la santé. Cette formation concerne la physiothérapie, l’ergothérapie, la nutrition et diététique, les sages-femmes ainsi que la technique en radiologie médicale.

Les futurs diplômés pourront répondre à l’évolution rapide du secteur de la santé.

Les étudiants de ce Master, dont la première volée a vu le jour en septembre 2017, pourront mettre en œuvre des pratiques scientifique fondées, acquérir des savoirs approfondis dans le domaine de la santé, renforcer leur leadership ou encore développer des projets cliniques. Plusieurs enseignements sont partagés avec le Master en Sciences infirmières, afin d’intensifier la collaboration interprofessionnelle et les échanges scientifiques.

Les futurs diplômés pourront répondre à l’évolution rapide du secteur de la santé et aux défis importants que représentent, entre autres, le vieillissement de la population, les maladies chroniques, la prévention des risques, la qualité de vie des patients et patientes.